Aleksandra Kurzak, Morphing Chamber Orchestra, Yuuki Wong, Tomasz Wabnic
AP265 - 1CD - 75' - 22 oct. 2021
Aleksandra Kurzak consacre son nouvel enregistrement à Mozart, explorant avec le Morphing Chamber Orchestra le dialogue entre voix et instruments. Un théâtre musical vibrant, enrichi par la Symphonie concertante.
La soprano polonaise Aleksandra Kurzak ne se présente plus. Après avoir ébloui la scène lyrique et le monde discographique, en duo comme en solo, Aleksandra Kurzak consacre son tout nouvel enregistrement à Mozart. De La Flûte enchantée à Zaide, Mitridate ou La Clémence de Titus, la soprano embrasse avec le même talent les airs les plus célèbres du maître salzbourgeois… et sa verve concertante. Car loin de se limiter aux seuls attraits lyriques, elle en révèle la profondeur et le génie en explorant la richesse du dialogue entre voix et instruments : musiciens du Morphing Chamber Orchestra de Vienne et Aleksandra Kurzak se répondent, s’imitent, se cherchent. Ils font ainsi des airs de Mozart le lieu d’un théâtre intime, drôle et incroyablement vivant, dans lequel instruments tiennent un rôle à part entière dans le drame qui se joue. Comme pour y faire écho vient s’ajouter au programme la Symphonie concertante pour violon, alto et orchestre, l’un des sommets du compositeur dans le genre.
WOLFGANG AMADEUS MOZART (1756-1791)
1. Die Zauberflöte, K.620 “Der Hölle Rache kocht in meinem Herzen”
2. Mitridate, re di Ponto, K.87 “Lungi da te, mio bene”
3. La clemenza di Tito, K.621 “Ecco il punto… non più di fiori”
4. Zaide, K.344/336b “Ruhe sanft, mein holdes Leben”
5. Così fan tutte, K.588 “Ei parte… Per pietà”
6. Die Entführung aus dem Serail, K.384 “Welcher Kummer… Traurigkeit ward mir zum Lose”
Sinfonia concertante pour violon, alto et orchestre en mi bémol majeur, K.364/320d
7. I. Allegro maestoso
8. II. Andante
9. III. Presto
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